Notre ami Roland Delorme n’est plus

Monsieur le Maire de Bussières, Georges Suzan, a rendu, lors de ses funérailles, un dernier hommage à Roland Delorme, décédé le 22 février 2015.

« Il me faut au nom du Conseil municipal du CCAS et de l’ensemble des personnels, prendre la parole dans ce moment si difficile, ou les mots me manquent, pour évoquer celui qui nous quitte.

Roland c’est la joie de vivre

Roland c’est le sourire amicale qui engage le dialogue

Roland ce sont ses propos si directs, mais au combien justes et de bon sens

Roland c’est les autres d’abord, et moi après

Roland c’est l’enfant du pays qui a Bussières vissé au cœur.

Son village dans lequel il aime s’investir, participer à chaque manifestation, mais aussi organiser des évènements mettant systématiquement sa commune, notre commune en valeur.

Roland c’est l’homme de l’engagement.

Depuis toujours il est attentif à la vie de Bussières et après avoir assisté pendant de très nombreuses années aux séances du Conseil municipal, il accepte de nous rejoindre pour prendre sa part de responsabilités dans les affaires communales.

Commence alors pour notre équipe, une formidable collaboration pleine de sérieux, et de dynamisme, ou Roland excelle dans son investissement.

Si, souvent sa bonne humeur, ses plaisanteries, mais aussi sa grande pertinence dénote un esprit malicieux, c’est pour nous procurer autant de saines respirations propices à des échanges constructifs.

Qui dans notre village n’a pas eu recours à sa gentillesse, sa disponibilité, son attention ?

Roland aime les autres.

Alors qu’aujourd’hui nous sommes tous réunis pour lui adresser un dernier au revoir, c’est avec grande émotion que nous pensons à sa famille.

Evelyne, Damien, Gisèle, Monique, Virginie, Thierry, Elisa, Lucie, Gwendoline ses frères et sœurs, il vous faut beaucoup de courage pour surmonter le marasme qui vous frappe.

La hauteur de notre peine, nous fais mesurer au combien votre douleur est immense.

Seule la qualité de ce qui vous lie, offrira l’énergie de poursuivre votre route, dans un devenir ou Roland sera toujours avec vous dans le chemin de la vie.

Au crépuscule de mes propos, je me rends compte Roland que je parle de toi au présent.

Je sais que je ne peux plus parler au futur, mais je ne me résous pas encore à parler de toi au passé.

Adieu Roland, là où tu es, chemine en paix. »